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Le duo est tout à fait excellent, jouant du charme allié à une technique remarquable.
Danielle Anex-Cabanis. Paru sur utmisol.fr
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Coup de coeur! Un festival de virtuosité pianistique!
Jean Lacroix. Paru dans « La Revue Générale »
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Avec l’énergie de leur jeunesse et un engagement impressionnant, Stéphanie Salmin et Pierre Solot transmettent pleinement l’esprit symphonique, clarifiant moult détails par la finesse et la coloration de leur toucher. Ils soulignent même certains aspects que l’orchestration rend parfois moins audibles. (…)Ce tour de force pianistique, qu’ils viennent d’enregistrer, laisse le public saisi.
Alain Huc de Vaubert. Paru sur resmusica.com
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Ils arrivent et entament à quatre mains le sacre du printemps, cette pièce pourtant composée pour un orchestre entier, à quatre mains seulement mais l’on jurerait presque qu’ils en possèdent dix. Il en faut bien dix pour tour à tour jouer puis tenir les partitions qui s’envolent au vent, dix pour faire office de dizaines d’instruments, dix contre ou plutôt dix avec les centaines d’oiseaux qui piaillent tant qu’ils le peuvent à la santé du jour. Ils ne se contentent pas de s’attribuer un côté du clavier, de se partager pour l’un le côté grave et pour l’autre l’aigu; leurs mains se croisent, se décroisent, parfois l’un ajoute une note, une seule, entre deux phrases de l’autre. Ces deux-là, on nous l’a dit, s’accordent à la ville comme à la scène, et lorsque je m’approche de plus près, pour y voir de visu le jeu des mains, il y a les alliances dorées à leurs mains gauches respectives, on ne sait presque plus laquelle est à qui, ils se confondent, forment un tout, comme en s’aimant ne pas se contenter de viser, d’espérer l’harmonie, mais l’enclencher, à deux, l’engendrer : l’harmonie.
Victoire de Changy
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Interprétation magistrale! Fougue et fureur!
La dépêche du Midi